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mes histoires: SF, fantastique-fantésie, nouvelles...
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  • J'écris quelques histoires (science fiction, fantaisie, fantastique, nouvelles, poésies, et peut-être d'autres plus tard) que je publie sur ce blog le week-end. Il serait sympathique de proposer une critique à une nouvelle dans le monde de l'écriture.
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28 octobre 2015

Une terre sans nom 1-2

 Voilà la suite !

 

Le soleil se leva enfin, mes camarades et moi même, étions encore plus affaiblis qu'hier et que les jours précédent, les semaines et ou même les mois passés sur ce bateau. Peut-être même qu'un nombre d' entres nous étions morts, là, adossés contre la coque en métal rouillée.

On nous criaient dans les oreilles à travers la grille du cachot, des ordres et des menaces que je n'écoutai pas...Je ne fit que suivre la personne devant moi lorsque lorsqu'elle se leva, et peut-être que la personne derrière moi ne faisait que me suivre elle aussi...

 

Nous montèrent tous sur le ponton, certaine ne se levèrent pas dans la partie du cachot ou je me trouvé. Elles étaient bel et bien mortes. Déprimant...non ! Révoltant, affolant ? ...Je ne serait déterminé cette situation...

Ils nous mirent tous des chaînes, ont ne pouvait plus fuir, nous n'avons jamais pu fuir, mais nous avions deux options, obéir ou mourir. Nous sommes des prisonniers et je ne dirai pas prisonnier de guerre vu qu'on n'a rien fait d'autre qu'attendre comme des gentils petits toutou, que nos ennemis franchisent nos murailles et pioche dans nos réserve de nourritures et de richesses. On aurait du nous battre dés le début, faire un trou dans notre dôme d'acier translucide et de diaments, au risque d'avancer l'échéance, puis de tous les exterminer. Mais le gouvernement, notre gouvernement n'aime pas les risques, et nous prenne je l'avoue un peu pour des cons...

Nos vêtements sont des haillons, des bouts de tissus volatiles placés ça et là sur notre corps.

Devant moi se tiens un jeune homme, il avait le dos voûté ce qui faisait ressortir anormalement sa colonne vertébral, il devais avoirs dans les...17 ans et était couvert de cicatrices et d'ecchymoses. Je ne parvenais pas à marcher droit, tout le monde était en mauvais état, on ressemblaient un peu à des soldats qui revenaient d'une guerre perdu d'avance...

Merci d'avoir lu !

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